Des neurologues canadiens sont arrivés à la conclusion que le chocolat active les même zones cervicales que la drogue ou l 'alcool...
L'expérience a consisté à donner du chocolat à des cobayes et à observer leur activité cérébrale par tomographie. Lors de l'ingestion des premiers morceaux, une activité intense a été remarquée dans la partie du cerveau habituellement stimulée par les drogues. Mais plus la consommation augmentait, plus la zone stimulée se déplaçait à cause du dégoût.
Les scientifiques de l'institut neurologique de Montréal, de l'université MacGill et de l'école de médecine de la Northwestern university de Chicago comptent bien utiliser ces recherches pour comprendre et expliquer les phénomènes d'accoutumance et les troubles alimentaires tels que l'anorexie ou la boulimie.